DIMANCHE EN POLITIQUE SUR FRANCE 3 N°43 : VALERIE PECRESSE
Le dimanche 24 septembre 2017, Valérie Pécresse, présidente Les Républicains de la région Ile-de-France, est l’invitée de "Dimanche en politique", le magazine politique de France 3. Est-elle en mesure de s’ouvrir un avenir politique de premier plan ? Elle est interrogée par Francis Letellier avec à ses côtés Eric Hacquemand, journaliste politique à Paris Match.
Au sommaire :
- Pourquoi la présidente de la région Ile-de-France ne joue-t-elle pas son va-tout dans la conquête du parti Les Républicains ?
- La droite française risque-t-elle d’exploser ?
- La rue contre les ordonnances sur la loi Travail : que fera le gouvernement si le conflit s’étend ?
- Travail, logement, transport… et si la stratégie du gouvernement était d’ouvrir tous les chantiers en même temps ?
Ce dimanche est marqué par les élections législatives en Allemagne qui devraient voir la chancelière Angela Merkel remporter un quatrième mandat. "Angela Merkel est un modèle pour moi", confie Valérie Pécresse qui a lancé son mouvement politique "Libres". "Elle prouve qu’on peut être de droite sans être populiste. On peut transformer un pays dans la durée. Les réformes ne conduisent pas forcément à l’échec."
En France, Emmanuel Macron estime que ce n’est pas à la rue de faire la loi. "La réforme du Code du travail est une belle réforme, insiste-t-elle. Même si on aurait pu aller plus loin."
Emmanuel Macron tient sa légitimité, en partie, du vote de la droite"
Après avoir mis en scène la signature des ordonnances pour la loi travail, de plus en plus de personnes regrettent la communication "à l’américaine" d’Emmanuel Macron. "Emmanuel Macron doit se rappeler à chaque instant quand il gouverne qu’il a été élu grâce à l’union de tous les mouvements démocrates", insiste Valérie Pécresse.
"Il sait qu’il tient sa légitimité, en partie, du vote de la droite. Il faut en permanence qu’il concerte, il faut en permanence qu’il écoute. Il y a un certain nombre de sujets pour lesquels la droite à beaucoup à apporter. Il faut écouter l’opposition quand elle a des propositions. Moi, je suis dans une opposition qui se veut juste, qui dit quand c'est bien mais qui propose aussi autre chose."
A la fin du magazine, l'invité (e-s) politique nous expose son instantané par son "smart phone" et nous explique son choix :
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